Prescription des contraceptifs oraux de 3éme et 4éme génération : retour au bon sens
|
La ministre de la Santé a pris acte des demandes de MG France : il n'est pas plus acceptable d'obliger les médecins à porter sur leurs ordonnances une mention manuscrite relative à la "bonne information des patientes" sur le danger des pilules de 3é et 4é génération que de réserver à certains spécialistes la prescription de ces pilules.
Le 2 janvier dernier, le syndicat des généralistes MG FRANCE s'est élevé contre la proposition de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) de réserver à certaines spécialités la prescription des pilules de 3ème et 4ème génération (3G, 4G), en excluant la spécialité médecine générale. L'ANSM a retiré sa proposition pour proposer ensuite, dans les rares situations où le médecin estime nécessaire de prescrire une pilule 3G ou 4G, de faire porter sur l'ordonnance une mention manuscrite confirmant la bonne information des patientes.
MG France a fait part à plusieurs reprises à l’ANSM de son refus de cette mention manuscrite. Cette position ferme du syndicat des généralistes vient d'être confirmée par la ministre de la Santé. Mots-clés : contraception, pilule, 3é 4é génération, mention manuscrite Contacts :
|
Référence du communiqué de presse : N° 258 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire) |