En réalité, le syndicat a bel et bien voulu tordre le cou aux chiffres qui circulent dans le secteur mais qui englobent l’ensemble des spécialités médicales. « Pour les généralistes, le phénomène des lapins n’est pas si massif que cela, confirme le Dr Jean-Christophe Nogrette, secrétaire général adjoint du syndicat. La plupart du temps, il s’agit de patients que l’on connaît et il y a toujours moyens de s’arranger au téléphone. »