Depuis des années, on nous met la pression sur les médicaments génériques.
Avec nos patients, nous perdons du temps en négociation, ou en écriture du NON SUBSTITUABLE à la main, svp !
On nous affirme que princeps et génériques, c’est pareil. Mais apparemment tout change ... lorsque des patients mécontents lancent une polémique médiatique et portent plainte !
Le politique recule face aux patients.
Oui, changer d’excipient peut changer les choses.
C’est nouveau ?
Oui, "les patients doivent avoir le choix selon ce qu’ils ressentent" dit la Ministre.
Pourquoi pas ?
Mais si on cesse la pression sur les prescripteurs.
Et si on simplifiait les choses ?
Le médecin prescrit la molécule et la forme, la posologie.
Le patient négocie avec le pharmacien, professionnel du médicament, la marque et la couleur de la boite ...
Exit alors le "NS "
Et ... on passe à autre chose.